LE RESUME
"Après un drame éprouvant, Jane cherche à tourner la page. Lorsqu'elle découvre le One Folgate Street, elle est conquise par cette maison ultra moderne, chef d'oeuvre de l'architecture minimaliste, parfaite. Mais pour y vivre, il faut se plier aux règles draconiennes imposées par son architecte, Edward Monkford, aussi mystérieux que séduisant. Parmi celles-ci : répondre régulièrement à des questionnaires déconcertants et intrusifs. Peu à peu, Jane acquiert une inquiétante certitude : la maison est pensée pour transformer celui qui y vit."
 
MON AVIS :
 
Cela fait longtemps que je rêvais de lire un thriller capable de m'emporter des heures durant, sans que je m'y ennuie, un thriller 100% captivant. Et long, si possible, un truc du genre 400, voire 500 pages !
 
Hé bien, avec "La fille d'avant", c'est chose faite ! 
Dès le début, cette histoire, invraisemblable, m'a happée et ne m'a pas lâchée. J'ai adoré le côté addictif, et que l'invraisemblable paraisse, au moment où on est plongé dans le roman, tout à fait vraisemblable.
 
J'ai pensé que l'auteur s'était aussi, consciemment ou pas, inspiré de différentes choses : du livre best-seller (écrit par une japonaise)  "L'art du rangement" au thriller "Sliver", en passant par quelques pointes de "Cinquante nuances de Grey", pour moi, tout y était, et pour une fois, la fin fut, elle aussi, une réussite : je dirais même une telle réussite que j'aurais voulu que le livre se poursuive... 
 
Alors, à quand un tome deux ? (on peut rêver, et pourquoi pas, hein ?)
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